Monthly Archives: juillet 2020

Un avion de combat par Airbus et Dassault

Airbus et Dassault Aviation ont réalisé « un accord industriel historique » pour développer le futur avion de combat franco-allemand afin d’assurer « la souveraineté européenne ».

Un tournant « historique » : les deux rivaux de toujours, Airbus et Dassault Aviation, développeront ensemble le futur avion de combat franco-allemand, pièce maîtresse dans la stratégie de Paris et Berlin pour assurer la souveraineté européenne en matière de défense. Les deux avionneurs ont annoncé avoir « regroupé leurs forces pour le développement et la production du Système de combat aérien du futur européen (Scaf) » à l’horizon 2040, à l’occasion du salon aéronautique de Berlin (ILA).

« Ce partenariat représente un accord industriel historique pour assurer l’autonomie stratégique et le leadership technologique de l’Europe dans le secteur de l’aviation militaire au cours des décennies à venir », selon leur communiqué. Airbus et Dassault ont mis au point une « feuille de route commune » qui comprendra des propositions pour le développement de « démonstrateurs » à partir de 2025.

Les deux industriels, aujourd’hui concurrents avec leurs avions de combat respectifs, l’Eurofighter et le Rafale, relèvent le défi politique lancé par Paris et Berlin, tout en joignant leurs forces face à une concurrence américaine extrêmement agressive.

« Le premier message est de dire « oui, nous sommes prêts » », a déclaré le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, lors d’une conférence de presse avec le patron d’Airbus Defence and Space, Dirk Hoke, dans la capitale allemande. « C’est un moment historique pour l’industrie » européenne, a complété Dirk Hoke, « un grand pas en avant pour développer les compétences en Europe et assurer la souveraineté européenne. » Les deux capitales s’étaient entendues l’été dernier sur le principe d’un « système de combat aérien européen ».

Une première étape doit être formalisée jeudi lors du salon. Il s’agit de la signature par les chefs d’état-major des armées de l’air des deux pays, sous la férule de la ministre des Armées Florence Parly et de son homologue Ursula von der Leyen, d’un document d’une trentaine de pages, « très structurant pour exposer les besoins des militaires pour un système de combat aérien à l’horizon 2040 », indique-t-on dans l’entourage de Florence Parly.

Le Scaf est conçu comme un système complet associant un avion de combat de nouvelle génération, des drones MALE (moyenne altitude, longue endurance), des avions existants qui seront encore en service après 2040, de futurs missiles de croisière et des drones évoluant en essaim. Il sera connecté à des avions, des satellites, des systèmes de l’OTAN et des systèmes de combat terrestres et navals.

« Il y a une volonté politique très forte de faire un système de combat aérien en coopération avec l’Allemagne », souligne l’entourage de la ministre française, qui parle d’une « première brique » pour un « projet qui va structurer notre industrie de défense aéronautique européenne pour des décennies. »

En inaugurant le salon mercredi, la chancelière Angela Merkel a confirmé que la coopération franco-allemande « dans le domaine de la Défense, est évidente ». Elle « stimule toujours la coopération européenne et c’est ainsi que nous donnons de plus en plus vie à l’Union européenne de la Défense. »

Le programme d’avion militaire franco-allemand doit assurer l’autonomie stratégique européenne face aux États-Unis, vol L-39 Dijon mais aussi à l’Asie. Le calendrier prévoit un deuxième jalon en 2021 sur l’architecture du système, l’avion lui-même, l’armement, etc. D’ici là, de premiers contrats aux industriels fin 2018 début 2019. Outre Airbus et Dassault, il s’agit de Thales, Safran, MBDA, l’allemand MTU.

Les deux capitales se disent ouvertes à l’accueil d’autres pays, mais sans tomber dans les travers de certains programmes internationaux d’armement passés, dont les coûts et les calendriers ont déraillé en raison du grand nombre de partenaires impliqués. La Grande-Bretagne, qui s’était associée à la France pour développer un drone de combat en 2014, n’est pas dans l’équation pour l’heure, notamment en raison du Brexit. Mais Paris laisse entendre qu’elle pourrait la rejoindre plus tard.

Une sortie en mer pour la préservation des cétacés

Les dauphins sont des mammifères qui nous fascinent. Notre entreprise est attirée par les dauphins et lorsque nous les voyons de l’extérieur, nous sommes généralement impressionnés. Pour cette raison, nous devons les protéger. Il existe 32 types de dauphins, membres de la famille des cétacés Delphinidae, qui sont dispersés dans tous les océans de la planète. Ces mammifères marins sont généralement présents dans les mers assez peu profondes des zones côtières, nager avec les dauphins mais certains peuvent être situés en pleine mer. Les dauphins sont certainement une équipe raisonnablement moderne; ils se sont développés il y a environ dix millions d’années à la fin du Miocène. Les Delphinidés représentent probablement la classe la plus diversifiée, ainsi que la plus nombreuse, de cétacés. Parmi les delphinidés, on trouve les grands dauphins (Tursiops truncatus), mieux connus pour leurs spectacles en océanarium; le dauphin à long bec (Stenella longirostris), qui a peut-être vu ses chiffres diminuer à cause des filets des pêcheurs de thon; et l’orque ou peut-être la fantastique baleine (Orcinus orca), le plus grand des dauphins. Les dauphins se distinguent de leur famille proche, les marsouins, par l’existence réelle d’un bec. Les dauphins sont des animaux sages et sociables, et le cadre social est montré de diverses manières chez les dauphins. Les types côtiers élèvent normalement de petits troupeaux de 2 à 12 individus. Les dauphins des mers plus ouvertes ont des troupeaux d’au moins 1 000 hommes et femmes. Les dauphins communiquent par écholocalisation, qui vont de plusieurs clics à des sons ultrasoniques, qui pourraient également être utilisés pour étourdir sa proie. En travaillant en coopération, les dauphins peuvent traquer et rassembler leurs repas en utilisant cette capacité. Les agrégations de dauphins ont en outre un facteur défavorable. La taille des échouages ??de dauphins, une habitude par laquelle des troupeaux entiers se côtoient et expirent en masse, est vraiment une sensation bien connue mais très peu comprise par les biologistes. Les hypothèses pour cette conduite relativement suicidaire consistent en des infections bactériennes parasites nématodes de vos oreilles internes, ce qui perturbe leur stabilité, leur orientation ou leurs capacités d’écholocation; simple désorientation en raison de mers inconnues; ainsi que probablement un désordre magnétique. En raison de la propension à se rassembler en grands troupeaux, en particulier dans les zones aménagées, les dauphins sont de plus en plus exposés aux gros filets des pêcheurs commerciaux. Les filets maillants, mis en place à la suite de la capture de saumon océanique et de capelan, capturent également plusieurs variétés sans but, notamment des dauphins et des types de marsouins côtiers. Dans l’océan Pacifique oriental, en particulier dans les années 60 et 70, des dauphins sont déjà capturés et ont péri dans les sennes fourre-tout des flottes de pêche sportive au thon. Ce marché était responsable de la mort d’environ 113 000 dauphins par an ainsi qu’en 1974 par vous-même, détruit environ un demi-million de dauphins avec leurs filets. Les pêcheurs de thon ont récemment mis en place des filets particuliers et diverses procédures de pêche sportive pour protéger les dauphins. Une planche de filet utilisant un maillage plus fin, le panneau solaire Medina, fait partie de l’Internet le plus éloigné du bateau de pêche. Faire sauter des bateaux potentiels rassemblent le thon, car la toile est traînée sous et autour de l’institution des fruits de mer. Comme Internet est tiré vers le navire, plusieurs dauphins peuvent facilement s’échapper en rebondissant sur les flotteurs de votre panneau solaire Medina, mais d’autres sont assistés à la main à travers les navires explosifs ou par des plongeurs. Le maillage plus fin aide à empêcher les dauphins de se tordre du World Wide Web, contrairement au maillage plus grand qui, dans le passé, attrapait les dauphins parce qu’ils cherchaient à s’éloigner. La pression des clients et les boycotts du thon ont été des variables importantes à l’origine de ce changement de technique de la part du secteur de la pêche au thon. Pour commercialiser cette nouvelle approche de la pêche sportive au thon et afin de regagner la confiance des clients, l’industrie de la pêche au thon a commencé à étiqueter ses produits «Dolphin Safe». Cette campagne a été rentable parce que la baisse des ventes de produits suite à vos boycotts s’est accélérée ces dernières années.

Israel, vers une nouvelle apartheid

C’était absolument le point culminant de ce que la routine qualifiait de «développement séparé» – un effort pour détourner l’attention de l’oppression raciale en professant que les gens de couleur noire ont fini par être autonomes dans leurs propres revendications et n’étaient pas des résidents de la deuxième école. en Afrique australe. Le gouvernement fédéral de l’apartheid n’a finalement créé que plusieurs Bantoustans ostensiblement impartiaux (Bophuthatswana, Venda, Ciskei et Transkei) et une demi-douzaine de zones de régulation personnelle. Les autorités gouvernementales étrangères ont, pour la plupart, ignoré les États fantoches pour ce que ces gens étaient; L’Afrique du Sud était la seule région au monde à identifier officiellement les Bantoustans, et les jugements clés concernant leurs affaires ont également été fabriqués spécifiquement à Pretoria. J’ai consacré des âges de mon bien-être au service inconnu d’Israël, y compris en devenant agent de bureau pour l’Afrique australe au sein du ministère israélien des Affaires étrangères à l’époque de l’apartheid et en tant qu’ambassadeur d’Israël en Afrique du Sud de 1992 à 1994, grâce au déménagement du pays. à la démocratie Tout au long de ces années, j’ai appris, à ma grande consternation, qu’aucune terre sur terre (à l’exception de l’Afrique du Sud) n’a contribué beaucoup plus au climat économique des Bantoustans qu’Israël. Les Israéliens ont construit des usines, des communautés locales, un établissement de santé et même une arène de football ainsi qu’une ferme d’alligators dans ces États fantoches d’Afrique australe. Israël est allé à ce jour concernant laisser l’un d’eux, le Bophuthatswana, pour préserver un objectif diplomatique à Tel Aviv, et son chef, Lucas Mangope – évité par le monde pour avoir progressé et légitimé l’apartheid en coopérant avec le plan sud-africain – avait été une invité en Israël. Depuis que le monde entier a boycotté le simulacre de Bantoustan, Israël, déterminé par la nécessité d’avoir une aide à la stabilité et un marché d’exportation pour ses biceps et triceps, s’est mobilisé pour aider le programme d’apartheid. L’aide à la protection d’Israël avec l’Afrique du Sud a commencé en 1974 et s’est terminée simplement avec l’élection politique de Nelson Mandela en 1994. La connexion de 20 saisons était d’une ampleur très variable et comprenait le développement conjoint d’armes entre vos deux pays et la source israélienne d’armes force l’éducation et les mains à l’Afrique du Sud. En fait, l’Afrique du Sud était de temps en temps le principal acheteur d’armes israéliennes. Cette assistance avait eu lieu pendant près de deux générations lorsque je suis devenu ambassadeur et il était complexe que même moi, en tant qu’ambassadeur, n’en avais pas été au courant; il était synchronisé en grande partie par le ministère de la Défense plutôt que par le ministère des Affaires étrangères. Grâce à cette collaboration, Israël est devenu l’un des plus chers alliés de l’Afrique du Sud – à bon marché, militairement et diplomatiquement – et a répondu à sa demande de vous aider à produire les Bantoustans. Finalement, évidemment, ces bantoustans ont diminué, en plus de la routine de l’apartheid, beaucoup grâce en partie à la coordination internationale et à la non-reconnaissance, qui incluent des tensions et des boycotts – malgré les groupements suprémacistes blancs afrikaner défendant les bantoustans jusqu’à la fin de l’apartheid. Il est en fait maintenant évident que les efforts visant à blanchir un plan discriminatoire et oppressif en développant des déclarations autonomes fictives habitées par des sujets qui n’ont pas de véritables droits juridiques politiques n’ont pas fonctionné en Afrique du Sud et ils ne fonctionneront pas ailleurs. Ce cours, même ainsi, est devenu testé. Avec l’aide productive de l’Amérique sous la forme du soi-disant «accord du siècle» du directeur Donald Trump, Israël tente d’introduire et de construire la variante du dernier millénaire de la politique d’assurance déplorable de l’ancienne Afrique du Sud. Fin janvier, Trump a accordé un cadeau supplémentaire à son bon ami le parfait ministre israélien Benjamin Netanyahu avant les élections du 2 mars en Israël, présentant une idée que son gendre et ses émissaires ont créée sans que les Palestiniens n’existent.

Comment la Chine cherche son unité

La volonté de la Chine d’accepter ce genre de dissidence s’épuise. Le 6 août, au lendemain d’une attaque paralysant une grande partie de la ville, le porte-parole du gouvernement fédéral, Yang Guang, a refusé d’éliminer toute action de l’armée et a déclaré que Pékin « ne permettrait jamais » des troubles qui menaceraient la sécurité fédérale. «Ceux qui s’amusent avec des flammes périront», a-t-il déclaré. «Chaque semaine plus tard, il se rendait compte que« les toutes premières indications du terrorisme commencent à apparaître ». Il est utilisé plus de deux générations à des fins militaires. l’assistance en matière de services comme un véritable danger à Hong Kong pourrait peut-être être considérée comme une preuve que «un pays, deux systèmes» était au moins une réalisation temporaire. De nombreux habitants de la ville se sont montrés véritablement nerveux avant la passation des pouvoirs, craignant un arrêt brutal des libertés civiles, la primauté du droit et leur capacité de gagner de l’argent. Les familles avec les moyens acquis ont résidé dans des pays étrangers, envoyant leurs enfants à l’université et, si possible, obtenir des passeports étrangers. Au cours des nombreuses années à venir, plus de 60 000 immigrants de Hong Kong sont arrivés à Vancouver. Mais comme la chronologie a pris en charge après quoi transféré, la crise n’est jamais arrivée. Certes, une augmentation immobilière sans précédent a forcé l’horizon et les taux de l’immobilier ont augmenté. Les émigrés sont revenus lorsque les actions ont grimpé en flèche et que les institutions bancaires ont élargi leurs empreintes. Hong Kong a ainsi perçu un fond fiable, parlant anglais, pour toucher la croissance chinoise. La plupart du temps, Pékin avait l’intention de quitter la ville, de se méfier des courtiers fantasmagoriques ou d’éliminer une oie dorée. (Sans aucun doute, beaucoup de professionnels chinois, ou leurs familles, sont arrivés à leurs propres biens personnels à Hong Kong.) La protection de Hong Kong avait été définitivement examinée, mais elle avait fait ses preuves. En 2003, les militants ont organisé de grands rassemblements pour s’opposer à la législation soutenue par Pékin afin d’inscrire des amendes et pénalités sévères pour la «sédition» du continent. Ce projet a été abandonné à un moment donné, de même qu’une offre de 2012 d’obliger les étudiants à acquérir une «éducation patriotique» qui a également engendré une opposition. Jusqu’à récemment, les manifestations les plus tendues de 2014 ont eu lieu pendant les manifestations d’Occupy, qui souhaitaient le remplacement de sa méthode électorale partiellement démocratique et obligeaient depuis plus de deux mois un élément du centre-ville de Hong Kong. La réponse officielle fut rétrospectivement retenue; la police a appliqué des quantités assez simples de gaz de dégât et a généralement présenté aux manifestants une large place. Mais au cours des années suivantes, l’endurance de la Chine face à l’opposition a considérablement diminué. Sur le continent, le président Xi Jinping a été actif dans l’une des répressions les plus radicales de la dissidence parmi les générations, détenant des centaines de personnes et limitant de manière significative les paysages non homologués. Dans ce contexte, il était en fait inévitable que la tension arrive à Hong Kong, le lieu où la communauté a été emprisonnée et emprisonnée pour les militants de la démocratie professionnelle et a imposé des restrictions strictes quant aux candidats. En outre, il a interdit aux fonctions politiques de défendre l’autosuffisance.

La fin des traités nucléaires

Le chef de l’exécutif Trump a déclaré que les Etats-Unis se retireraient d’un traité périmé datant de plusieurs décennies et qui avait anéanti toute une classe d’armes nucléaires après avoir accusé la fédération de Russie de violation du traité. « Nous sommes ceux qui sont restés dans l’accord et nous avons respecté l’accord, mais la Russie n’a malheureusement pas respecté l’accord », a déclaré Trump à la presse au Nevada, « nous allons donc mettre fin à l’accord, nous sommes va se retirer.  » Selon le Département d’Etat, signé en 1987 par le président Reagan et le dirigeant soviétique Mikhaïl Gorbatchev, le traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire interdisait aux Etats-Unis et à l’Union soviétique de disposer de « missiles balistiques et de croisières lancés au sol, d’une portée de 5 à 500 500 km ». « et a nécessité la destruction des missiles, des lanceurs et des » structures de soutien et équipements de soutien associés « . Les deux pays ont éliminé 2 692 missiles juste après « l’entrée au pouvoir » du traité en 1988, selon l’agence. Pendant de nombreuses années, You.S. les officiers ont accusé la fédération de Russie de violer l’arrangement. Le général Paul Selva, vice-président des Joint Chiefs, a déclaré au Congrès, en mars 2017, que des responsables de l’armée « présument que les Russes ont utilisé un missile de croisière de vacances centré sur le territoire, qui viole l’esprit et l’intention » de votre traité. La supervision d’Obama a expliqué que la Russie avait violé le traité INF en 2014 en évaluant un missile de croisière de luxe lancé sur le terrain. Mais l’administration Obama « a choisi de ne pas laisser l’accord à cause des objections des Européens – en particulier de l’Allemagne – et par crainte d’une reprise de la course aux armements », a noté le New York Times. Susciter une condamnation sérieuse de tous les membres de la communauté mondiale qui sont attachés à la stabilité et à la sécurité et qui sont prêts à œuvrer au renforcement des régimes actuels de contrôle des armements. Même si le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Ryabkov, a déclaré à la société Tass newst le traité « serait une étape très dangereuse, qui, j’en suis sûr, ne sera pas comprise par la communauté internationale » Dans les années 1960, les États-Unis comptaient plus de 30 000 ogives nucléaires, ce qui a entraîné environ 22 000 En 1989, il y avait environ 4 480 armes nucléaires, dont 1 740 ont été utilisées, a documenté Philip Ewing de NPR. La fin du traité INF « pourrait être catastrophique » pour le Traité du nouveau départ, comme l’a observé David Welna, de NPR, à propos de l’énorme arrangement visant à réduire les armements avec la fédération de Russie, qui avait été autorisé en 2010. New Commence intègre une réduction à 1 550 ogives nucléaires sur les missiles balistiques intercontinentaux déployés pour chaque pays. Le conseiller fédéral en matière de sécurité de Trump, John Bolton, est en visite à Moscou dans la semaine et devrait en informer le directeur européen, Vladimir Poutine, le You.S. veut quitter le traité.

Voile en mer Baltique: plaisir de découvrir la mer

Dernièrement, j’ai fait une expertise en croisière et j’étais donc incroyable. J’ai vraiment apprécié ce processus. J’ai voyagé sur la mer Baltique pour terminer cette navigation. L’océan Baltique est un bras gauche de la plage de l’Atlantique nord, s’étendant vers le nord depuis la latitude de la partie sud du Danemark presque pour le groupe arctique et isolant la péninsule scandinave du reste des pays d’Europe continentale. La plus grande étendue d’eau potable saumâtre sur terre, la mer Baltique semi-fermée et relativement courte est d’une excellente curiosité pour les chercheurs, bien que pour les historiens, cela signifie le primaire économique de la Ligue hanséatique, sortie en mer l’excellent numéro commercial du moyen-âge des ports du nord-ouest. Les innombrables étiquettes pour les mers attestent que son lieu tactique est un lieu de conférence de plusieurs endroits. La voile y existe merveilleusement. L’océan Baltique couvre environ 149 000 kilomètres carrés (386 000 kilomètres carrés). Le bassin versant vidé par les estuaires et les rivières recevant de l’eau douce dans la Baltique représente à lui seul environ 4 fois la taille de l’océan. La Baltique appropriée s’étend au sud-ouest-nord-est dans la partie orientale de la péninsule scandinave de 54 ° de latitude nord jusqu’à un cercle assez proche du cercle arctique; son axe clé, de l’est du Danemark au sud de la Finlande, pourrait être très long de plus de mille kilomètres (1 600 km), avec une largeur typique d’environ 120 kilomètres (190 km). La Baltique occidentale traditionnelle s’étend au nord en passant par le Danemark insulaire et comprend le Kattegat, un Danemark péninsulaire séparant le détroit (Jutland ou Jylland) du sud-ouest de la Suède. Le Kattegat est délimité au nord par le Skagerrak, une entrée profonde des mers du Nord qui distingue la partie sud de la Norvège du nord du Jutland. Les grandes petites îles de Bornholm (Danemark) et d’Öland et Gotland (Suède) reposent sur la Baltique européenne, tandis que les îles Åland (finnoises: Ahvenanmaa), encore plus au nord, augmentent en provenance d’un rétrécissement impliquant la Suède et la Finlande et symbolisent la porte d’entrée au bras gauche dans la Baltique connu comme le golfe de Botnie. Juste au sud de vos îles Åland, l’étroit golfe de Finlande s’étend vers l’est entre la Finlande vers le nord, l’Estonie au sud et la Russie autour de l’extrémité est, avec Saint-Pétersbourg en tête. En allant dans le sens des aiguilles d’une montre à l’ouest, les endroits qui bordent la Baltique sont le Danemark, la Suède, la Finlande, la Russie, l’Estonie, la Lettonie, la Lituanie, la Pologne et l’Allemagne. Les côtes de la Suède et de la Finlande sont extrêmement frettées et généralement rocheuses, contrairement à celles de la Baltique méridionale sont lisses et plutôt sans relief. Dans lesquelles les roches cristallines de la vieille masse rocheuse du bouclier baltique affleurent le long des côtes nord, partiellement obscurcies par la dérive glaciaire et les dépôts marins, elles sont généralement bordées des îles basses et difficiles connues sous le nom de garde de skerry. Ceux-ci sont généralement les plus nombreux dans la Saltsjön (Salt Bay) de Stockholm ainsi que les océans disponibles dans le golfe de Botnie et loin de la côte sud-ouest de la Finlande. Dans le sud-est de la Suède, le filtre, les îles allongées d’Öland et de Gotland sont constituées de calcaire historique partiellement protégé par un dépôt de sable mou dérivé. L’île tropicale rectangulaire de Bornholm, loin du sud de la Suède, a été façonnée à partir d’un fragment de granit non attaché, ainsi que ses falaises plus élevées ont été conçues en faillant et en cisaillant vos strates rocheuses. Les options balnéaires qui accompagnent l’est du Danemark seront le résultat de la glaciation du Pléistocène et des variations ultérieures du degré océanique. Le littoral oriental du Jutland, au nord de la péninsule de Djursland, est facile et peu véridique. Au sud, des baies peu profondes divisées par de faibles promontoires. Dans la région tout autour du Schleswig, des fjords superficiels à flancs directs (Förden) apparaissent, ainsi que la portion de type fjord de Flensborg (Flensburger Förde) de la frontière entre le Danemark et l’Allemagne. Les îles de votre archipel danois possèdent un littoral endommagé, avec une variété de petites criques et en plus des pubs, notamment le club Odense sur l’île de Fionie. Là où les moraines terminales (dépôts marquant la plus grande ampleur des glaciers) atteignent les mers, des promontoires bas se forment. Des roches fiables affleurent rarement, à l’exception des falaises de craie de taille modeste le long de la côte orientale de l’île tropicale de Møn. Si vous en avez l’occasion, y arrivez ou envisagez une croisière plus près de chez vous, c’est vraiment incroyable.

Un pessimisme français

Pourquoi sommes-nous toujours en train de nous plaindre ? J’aimerais vraiment savoir. Nous avons un système de santé que beaucoup n’ont pas, nous vivons dans un pays riche, et en dépit de ça nous râlons pour un rien. C’est tout de même étrange ! Il y a quelques jours, j’ai fait un séminaire où j’ai examiné ce problème avec des collègues. Et nous avons observé que nous râlions quand même beaucoup pour un rien, en définitive. Mais pourquoi ? Mais pourquoi avons-nous de si mauvaises dispositions, en vérité ? Nous avons tenté de trouver la réponse sur internet : certaines personnes affirment que c’est un héritage direct de la Révolution, qui est bien sûr une forme d’opposition. Mais le raisonnement est fragile : l’époque est remonte à plusieurs siècles. Je pense que ce tempérament râleur vient de notre défaitisme. Les études établissent ainsi que nous sommes globalement le pays développé le plus défaitiste du monde ! La liaison entre pessimisme et râlerie me semble assez évidente. La vraie question, en fin de compte, c’est, pourquoi sommes-nous donc tant défaitistes ? Observez la campagne électorale d’en ce moment : tous les candidats prennent soin de rudoyer le « système » (une chose assez mystérieuse et floue et de insister combien notre pays part à la dérive. Ces paroles-là trouvent un écho. Par contre, nous sommes sourds à ce qui va. La différence entre la réalité et notre vision des choses : nous vivons dans une démocratie fertile, et nous sommes persuadés de vivre sous une dictature en fin de vie. D’où cela nous vient-il ? Pas mal d’articles font une pirouette sur cette question, et préfèrent énumérer les avantages qu’il y a à râler (c’est libérateur, etc.). Cependant, c’est encore une fois une pirouette intellectuelle, et qui fait l’impasse sur les effets dommageables ! Bref, la est pour l’instant entière. Et pour ne pas terminer sur une remarque négative, je voudrais faire une louange : j’ai beaucoup apprécié cet incentive . Il était splendidement préparé. :-p Je vous mets d’ailleurs en lien l’agence qui l’a constitué, si vous voulez vous faire une idée du programme.

Aérien: se battre contre les aides illégales

Ryanair affirme que le retour dans l’air sera rendu plus difficile par une aide d’État « illégale » à ses concurrents. Une compagnie aérienne britannique a annoncé qu’elle ne demanderait pas d’aide gouvernementale pendant la pandémie malgré les plans de suppression de 3 000 emplois.

Ryanair a annoncé aujourd’hui qu’elle ne demanderait pas d’aide d’État et a déclaré que les concurrents qui l’avaient fait sont «illégaux».

La compagnie a déclaré que son retour dans les airs sera rendu plus difficile par le soutien de 30 milliards d’euros accordé à d’autres compagnies aériennes, qui, selon elle, « enfreint à la fois les aides d’État de l’UE et les règles de concurrence ».
Ryanair a également annoncé qu’elle prévoyait de perdre plus de 200 millions d’euros au premier trimestre de l’année, suivie d’une «perte moindre» au deuxième trimestre.

La compagnie aérienne a annoncé aujourd’hui qu’elle avait réalisé un bénéfice annuel de 1002 millions d’euros, contre 885 millions d’euros l’année dernière, mais a averti que les effets du verrouillage affecteront sa consommation de passagers jusqu’en 2021 au moins.

Il a déclaré qu’il prévoyait transporter 80 millions de passagers en 2021 – près de 50% de moins que son objectif de 154 millions – mais qu’il verra des opportunités de croissance «importantes» à mesure que ses concurrents «rétréciront, échoueront ou seront acquis par le gouvernement a renfloué les transporteurs ».

Ryanair a commenté: «FY21 sera difficile pour le groupe Ryanair car ses compagnies aériennes travaillent dur pour revenir aux vols réguliers après la crise du COVID-19.

«Contrairement à de nombreux concurrents de la compagnie aérienne, Ryanair ne demandera ni ne recevra d’aide d’État.

«Des consultations sur les fermetures de bases, les réductions de salaire pouvant aller jusqu’à 20%, les congés sans solde et jusqu’à 3 000 suppressions d’emplois (principalement des pilotes et du personnel de cabine) sont en cours avec nos employés et nos syndicats.

«Notre équipe commerciale est également en pourparlers actifs avec nos partenaires aéroportuaires concernant la répartition des capacités de S.20 et au-delà.

« Le retour de Ryanair aux vols réguliers sera rendu beaucoup plus difficile par la concurrence avec les compagnies aériennes qui financeront des ventes à un coût inférieur à 30 milliards d’euros en aides d’État illégales, en violation à la fois des aides d’État de l’UE et des règles de concurrence.

« Alors que nous regardons au-delà de l’année prochaine, hélicoptère coxyde le modèle de croissance à faible coût de Ryanair offrira de nombreuses opportunités à mesure que les concurrents sont acquises par des transporteurs renfloués par le gouvernement. »

Réussir La réforme De la zone Franc Africaine

La zone franc africaine est composée de 14 pays de l’Afrique subsaharienne. Huit développés à la zone de l’Union économique ouest-africaine (UEMOA): le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. Les six autres – le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République centrafricaine et le Tchad – relèvent de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC). Depuis quelques années, cette zone franc est contestée de manière récurrente. Le débat sur la question, fortement contrôlé jusqu’au début des années 2000, échappe désormais aux milieux académiques et aux cercles politiques; toutes les composantes des sociétés africaines s’en emparent. Aujourd’hui, une réforme concertée s’impose, quel que soit le scénario envisagé: rupture totale de la zone franc ou éclatement en deux zones autonomes entre, d’une partie, la CEMAC et, d’autre part, la CEDEAO (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest, qui englobe tous les pays de l’UEMOA, ainsi que huit autres pays dont le Nigeria et le Ghana), qui a pour projet de créer une nouvelle monnaie unique appelée «eco» dès 2020 Une chose est sûre: toute réforme devra soutenir ou, au moins, sauvegarder l’acquis de cette expérience de coopération monétaire, tout en y répartissant les aménagements nécessaires. Éviter au moins deux pièges La future réforme devra échapper à deux pièges majeurs, liés aux perceptions déformées de la réalité. La première déformation est relative au compte d’opérations ouvertes dans les livres du Trésor français où sont aujourd’hui logées 50% des réserves de changement des États membres. En effet, il n’est pas tout à fait exact de dire qu’une dénonciation des accords de coopération monétaire révélateurs de ces réserves et de l’affectation à d’autres projets prioritaires. Car, en réalité, les pays africains rendus eux-mêmes la convertibilité de leur monnaie. La garantie française ne joue que si une union monétaire (UEMOA ou CEMAC) est globalement déficitaire. Et quand les risques se sont accrus en 1993 et ​​le déficit est devenu mondial et intenable, la France contre les pays de la zone à accepter la dévaluation en 1994, pour ne pas avoir à être mise à contribution. La seconde déformation est l’idée selon laquelle l’arrimage depuis 1999 à l’euro, monnaie forte, rend le franc CFA surévalué, ce qui obère la compétitivité à l’exportation et limite de facto les possibilités de transformation structurelle et d’industrialisation des pays africains. Trois explications limitent cependant la portée d’une telle critique. Premièrement, le commerce de la plupart des pays africains souffre plutôt qu’une compétitivité hors prix. C’est le cas, par exemple, des barrières non tarifaires imposées à l’entrée des marchés des pays industrialisés vers ceux qu’ils exportent. Deuxièmement, l’observation de la structure du commerce et de son positionnement sur les chaînes de valeur régionales et internationales montre que les pays africains sont des preneurs de prix sur les marchés des matières premières. Ainsi, les fluctuations du taux de changement semblent jouer sur la rentabilité des entreprises exportatrices plus que sur leur compétitivité. Troisièmement, ces pays souffrent structurellement d’un grave déséquilibre des équilibres courants, compte tenu du volume croissant des importations, y compris dans le secteur agricole pour les denrées alimentaires et les intrants industriels. On le voit, il y a un «piège historique» pour vouloir justifier la pertinence et l’urgence d’une réforme en se fondant uniquement sur des arguments symboliques de «décolonisation monétaire». Cependant, de nombreuses études, comme celle de Daron Acemoglu et James A. Robinson, pour qu’une réforme équilibrée peut être envisagée. Lors d’une manifestation contre le franc CFA à Dakar le 16 septembre 2017, un homme tient une pancarte sur laquelle on peut lire «Le FCFA, la honte et l’exploitation de l’Afrique». Seyllou / AFP Quel consensus autour d’un régime de changement optimal? Il faut se rappeler que le franc CFA existe depuis plus de 70 ans et que son usage est ancré dans les habitudes des agents économiques. C’est pourquoi toute tentative d’évolution devrait être prudente et consensuelle. La volonté politique est indispensable pour garantir la réussite de la réforme. Selon toute vraisemblance, c’est la condition la plus difficile à remplir. Le ministre français de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, assuré que la France était ouverte à une «réforme ambitieuse» du FCFA, tout en précisant qu’il revenait aux chefs d’État africains d’en décider. Mais compte tenu de la relation spéciale, parfois qualifiée de néo-coloniale, qui la lie à ses anciennes colonies, la liberté des chefs d’État d’aller vers une réforme sérieuse serait limitée. Ce qui explique, sans doute, que les positions officielles des chefs d’État de la zone franc ne sont pas clairement connues Choisir un régime de changement est difficile pour un pays en développement en raison de l’intérêt de ce choix sur la structure de prix et de ses multiples impacts financiers, économiques et sociaux. La réflexion doit donc permettre de définir un régime de changement qui concilie stabilité et flexibilité. Ce rôle d’ancrage que joue le taux de changement apparaît particulièrement utile dans les pays en développement, où la difficulté d’équilibrer les finances publiques incite à la création monétaire à travers les avances aux États (financement du déficit budgétaire par la Banque centrale à travers une avance au Trésor). Le choix d’une dose de flexibilité doit reposer sur des réponses claires à deux questions difficiles: quelle est la nature des chocs auxquels les économies sont confrontées? Et quelle en est l’ampleur? Améliorer les modalités de financement de l’économie Deux aspects doivent être examinés à cet égard: la politique monétaire d’une partie et le développement des marchés financiers d’autre part. La politique monétaire doit encore évoluer pour rompre avec le tournant quantitativiste et monétariste pris dans les années 1970 et renforcé dans les années 1990, avec les plans d’ajustement structurel qui ont conduit à poser comme norme une austérité permanente et une quasi-obsession de la recherche d’un équilibre qui s’est révélé purement récessif. Une caractéristique des économies émergentes bien reconnues aujourd’hui est la profondeur et le dynamisme de leur marché des capitaux, qui facilite la mobilisation de l’épargne longue indispensable pour le financement des infrastructures lourdes. Les pays de la zone franc offrent le développement d’une intermédiation financière inclusive, diversifiée dans l’offre de ses services, dynamique, capable d’une solution optimale au financement de long terme. Au sein de la CEMAC, la fusion des bourses actées par les chefs d’État participe à la réalisation de cet objectif. La bourse de valeurs mobilières de l’UEMOA, après avoir subi sa mue, évolue – certes lentement – vers une dynamisation de ses activités. Mais il convient de relever que l’interdépendance des marchés financiers et l’objectif de stabilité financière assigné à la Banque centrale réduisent de plus en plus la souveraineté des États et invitent à plus de rigueur dans la gouvernance. La qualité des institutions au cœur du succès de la réforme Les doutes qui subsistent toujours quant à la capacité des pays de la zone franc à gérer de manière autonome leur monnaie sans se passer de la présence tutélaire de la France sont souvent justifiés par les risques de dérapage qui résulteraient d’une émission excessive de monnaie en se référant à l’exemple de la «dollarisation» du Zimbabwe et de la République démocratique du Congo Ces routes sont encore confortées par les difficultés qu’éprouvent régulièrement ces pays versent pour définir et conduire des politiques économiques sans l’accompagnement des institutions de Bretton Woods . Il apparaît finalement qu’un des grands chantiers qui conditionne la réussite de la réforme de la zone franc repose sur la capacité des États à se doter d’administrations publiques solides capables de favoriser le développement économique. Cette réforme dépend donc, avant tout, de la volonté des chefs d’État africains, plus que de celle de la France. Et, naturellement, elle doit être animée par des hommes et des femmes compétents, motivés et désintéressés.