La mise en accusation, en common law, une poursuite instituée par le biais d’un organe législatif pour remédier aux fautes graves commises par un public reconnu. Dans la Grande-Bretagne, votre chambre des communes fonctionne comme procureur et la résidence des lords est déterminée dans le cadre d’une mise en accusation à venir. Au sein du gouvernement fédéral des États-Unis, la Chambre des représentants instaure les procédures de destitution en autorisant une enquête formelle de la Commission judiciaire de la Chambre, qui pourrait alors conseiller le contenu des articles de mise en accusation (une résolution d’image de mise en accusation) pour tout vote par le Home (articles de mise en accusation peut être lancé à domicile sans enquête officielle). Si les articles sont acceptés, un procès est verrouillé au Sénat et la certitude est acquise par un vote d’un minimum des deux tiers des sénateurs. En Grande-Bretagne, la confiance dans la mise en accusation a conduit à de grandes peines d’emprisonnement ainsi qu’à l’exécution, tandis qu’aux États-Unis, les frais et pénalités ne s’allongent pas plus loin que la révocation et la déchéance du siège social. En Grande-Bretagne, la destitution est née au 14e siècle, alors que c’était une méthode pour entamer une procédure pénale fondée sur la «clameur» ou le tollé. Le Meilleur Parlement de 1376 a créé les tout premiers cas de destitution identifiés, le plus important devenant celui de William, 4e baron Latimer, qui avait auparavant été étroitement lié aux autorités d’Edouard III. Les sujets de destitution réussis ont généralement été des chiffres politiques, généralement des ministres royaux. La situation de Latimer représente également le moment où la mise en accusation est devenue non seulement une méthode pour entamer une procédure illégale, mais aussi un moyen de procès. Après le milieu du XVe siècle, la destitution a été abandonnée jusqu’au 17e siècle, au cas où elle aurait été relancée comme un moyen par lequel le Parlement pourrait éliminer les ministres impopulaires, généralement des favoris de la cour protégés par le maître. De 1621 à 1679, la plupart des officiers en chef de la couronne ont été introduits directement ou du moins menacés par cet outil parlementaire efficace, l’un d’eux le 1er duc de Buckingham (1626), le comte de Strafford (1640), l’archevêque William Laud (1642), comte de Clarendon (1667), et Thomas Osborne, comte de Danby (1678). Au cours de la dernière circonstance, il avait été décidé que la grâce du roi ne pouvait pas empêcher une destitution contre son ministre. Le recours à la destitution a progressivement diminué à mesure que le XVIIIe siècle progressait, car il montrait un dispositif politique trop brutal pour attaquer les ministres du roi. Les limites de la procédure étaient manifestement évidentes dans la démonstration de mise en accusation non réussie (1788-95) de Warren Hastings. Au début du 19e siècle, l’approbation du principe selon lequel les ministres des placards sont responsables devant le Parlement (plutôt que pour le souverain) a créé une impeachment inutile, ainsi que le traitement est tombé en désuétude après la démo non réussie de Lord Melville en 1806. Aux États-Unis Aux États-Unis, le processus de mise en accusation n’a pratiquement jamais été utilisé, en grande partie parce qu’il est si lourd. Il pourrait occuper le Congrès pendant une longue période, remplir des milliers de pages Web de témoignages et inclure des tensions gouvernementales contradictoires et gênantes. Tentatives récurrentes à l’intérieur du You.S. Le Congrès pour amender la procédure, cependant, s’avère infructueux, en partie simplement parce que la mise en accusation est considérée comme un élément fondamental du système d’inspections et d’équilibres au sein du gouvernement américain.