Mr Benoit Hamon propose d’attribuer un salaire d’existence de 740€ par mois sans condition, spécialement de revenu, progressivement à toute la nation. Sa charge annuel au final atteindrait 600 milliards d’euros, ce qui correspond à la 1/2 des dépenses publiques. Le revenu universel fût avancé par des fonctionnaires que quelques-uns désigneraient de Thatchériens, couramment en l’ajoutant à une taxation proportionnel au salaire global pour le régler. Une charge générale au taux de 35 % pourrait en conséquence payer une charge de 850 milliards d’euros. Ce principe, revenu d’existence et un nouvel impôt relatif, promettrait, suivant ses auteurs, un plan de vie minimal à chaque Français tout en l’invitant à bosser encore plus que dans le système en vigueur. De fait, tout euro additionnel empoché par son occupation lui donnerait 0.66 Euros après prélèvement alors que, à présent, il emporte en net malheureusement 0.43 euros en moyenne, parce qu’il aperçoit réduire ses redevances sociales et accroître ses niveaux d’impositions et cotisations. Pour ces spécialistes, ce revenu commuterait un grand nombre des contributions sociales et des tâches publiques dont l’usage est individualisé. Chacun percevrait le minimum primordial pour exister, l’améliorerait par une occupation professionnelle, le dépenserait pour des biens de son choix et préserverait de manière libre contre tous les risques, notamment les actuels risques de santé. La globalité des prestations sociales atteignant quasiment 600 milliards d’euros, le revenu d’existence n’augmenterait en conséquence pas les charges publiques et pourrait être financé sans hausser les impôts obligatoires. Il faudrait seulement transformer certains de ceux-là, surtout les cotisations, par une charge sociale à 39.5 %. Le public arrêterait d’ intervenir pour proposer des fonctions aux ménages. Les implications de l’organisation d’un revenu universel sur l’efficience des sociétés, la séduction du pays, l’engagement et l’responsabilité, ou davantage la fraude aux impôts et sociale, seraient affreuses. Ce n’est clairement pas la folie d’Hamon, qui n’a pas proclamé la fin de services publics. Il est possible de simplement préjuger que le revenu universel modifierait les seuils sociétaux (autour de 26 Milliards euros) et les allocations familiales (13 milliards Euros), tout enfant y adjugeant droit, néanmoins ces économies ne moduleraient pas la réalité de la difficulté : il faudrait agrandir les impôsitions obligatoires d’environ 550 milliards Euros, soit de 50 %. Les répercussions de l’instauration d’un salaire d’existence sur l’efficience des sociétés, la séduction du territoire, l’engagement et l’activité, ou encore la fraude aux impôts et sociale, deviendraient affreuses.